Ne cherchons pas le lien entre les deux thèmes, sinon les coïncidences du quotidien. Fidèle à son habitude, le 5e afterwork PariBabi s’est déroulé le 4 novembre dans le haut lieu de la gastronomie ivoirienne à la villa Alfira. Cinquante habitués de l’afterwork et quelques nouvelles têtes ont écouté successivement Antonioni Bassit et Frank Kié.
Ne cherchons pas le lien entre les deux thèmes, sinon les coïncidences du quotidien. Fidèle à son habitude, le 5e afterwork PariBabi s’est déroulé le 4 novembre dans le haut lieu de la gastronomie ivoirienne à la villa Alfira. Cinquante habitués de l’afterwork et quelques nouvelles têtes ont écouté successivement Antonioni Bassit et Frank Kié. Le premier, en entrée, s’est dévoué pour nous sensibiliser sur la nécessité du dépistage du cancer de la prostate dans le cadre de Movember bleu, le pendant d’octobre rose sur le dépistage du cancer du sein. Le second en plat de résistance est venu nous expliquer l’impact de la cybercriminalité qui coûte 4 milliards de dollars par an aux entreprises et aux États. Dans ce contexte, le guest, comme on dit à PariBabi, après une première expérience dans la finance et des études en sécurité informatique, a créé le premier portail media en Afrique dédié à la cybercriminalité : Ciberobs A côté, il a monté le Cyber Africa Forum dont la première édition a eu lieu en juin dernier. Deux plats au fumet bien différents mais qui montrent que l’ancrage de PariBabi dans les questions de société, font de cet éclectisme une force. Avant de se quitter, pour le dessert, les participants, ont écouté au son du balafon, Abey Teyya Audrey qui a conté une histoire tout en humour, revisitant l’expression à malin, malin et demi.
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