Le 3 mai la FI, EELV, le PC et le PS, contre toute attente il y a seulement quelques semaines, ont signé un accord électoral (la NUPES) pour rassembler leur forces aux législatives autour de trois principes : création d’un intergroupe à l’Assemblée nationale, accord programmatique et répartition des circonscriptions (326 FI, 100 EELV, 69
Le 3 mai la FI, EELV, le PC et le PS, contre toute attente il y a seulement quelques semaines, ont signé un accord électoral (la NUPES) pour rassembler leur forces aux législatives autour de trois principes : création d’un intergroupe à l’Assemblée nationale, accord programmatique et répartition des circonscriptions (326 FI, 100 EELV, 69 PS, 50 PC). L’objectif de cette union historique est, dans une sorte de 3e tour, d’emporter la majorité absolue à l’Assemblée nationale (289 sièges) pour gouverner, à défaut, être une opposition résolue, écologique, démocratique et solidaire contre les politiques néolibérales-autoritaires du président Macron. Pour les 11 circonscriptions des Français de l’étranger, cinq ont été réservées à la FI (1ère,2e, 6e, 7e, 8e et 10e). Trois pour EELV-Génération.s (3e, 5e et 9e), une au PS (4e) et une au PC (11e). Pour ce qui concerne la nôtre (9e) notre secrétaire de section Fdm-adfe-CI, Christophe Courtin, initialement pré-investi candidat titulaire par la FI, a laissé la place à Karim Ben Cheikh (EELV-Génération.s) au titre de l’Union (voir ci-dessous). Il ne fait pas de doute que l’inverse aurait également fonctionné. L’union est une exigence inscrite dans notre logiciel de gauche. La violence verbale de beaucoup d’éditorialistes, de femmes et d’hommes de droite macronienne, républicaine ou extrême contre la NUPES, démontre que la victoire est à portée de main.
L’intégrale du discours de Jean Luc Mélenchon à Aubervilliers le 3 mai
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