Les bruits de bottes et de chenilles en Ukraine, la petite musique angoissante de la rhétorique de la menace nucléaire, le départ de la force Barkhane du Mali qui partage une longue frontière avec le nord de la Côte d’Ivoire, le dernier rapport du GIEC sur la catastrophe climatique qui vient, autant d’évènements qui se
Les bruits de bottes et de chenilles en Ukraine, la petite musique angoissante de la rhétorique de la menace nucléaire, le départ de la force Barkhane du Mali qui partage une longue frontière avec le nord de la Côte d’Ivoire, le dernier rapport du GIEC sur la catastrophe climatique qui vient, autant d’évènements qui se bousculent et qui montrent un monde de plus en plus incertain pour tous les Français qui vivent à l’étranger. Sur les bords de la lagune Ebrié, tout cela nous semble encore un peu lointain, mais la hausse des prix de première nécessité se fait déjà sentir et le 13 mars nous rappelle le souvenir terrible de l’attentat de Grand-Bassam, il y a six ans. Que pouvons-nous faire à notre niveau, sinon assister, atterrés, impuissants, à cette lente dégradation de notre environnement mondial ? D’abord se mobiliser pour voter les 10 et 24 avril prochain aux élections présidentielles et ainsi dire sans ambiguïté à nos responsables élus les orientations qu’ils doivent choisir en notre nom. Ensuite ici en Côte d’Ivoire développer notre résilience par la proximité et la solidarité de la communauté française, en son sein et avec nos amis Ivoiriens qui nous accueillent. C’est pourquoi je profite de cette tribune, pour lancer un appel aux bonnes volontés pour qu’elles s’investissent dans les différentes commissions qui irriguent la vie de notre association Français du monde.
Dominique Louisor-Tako,
Présidente de Français du monde-adfe, section Côte d’Ivoire
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