C’est Arthur Banga, un Ivoirien, qui a fait le discours d’ouverture du débat entre le Président Macron et un panel de jeunes identifiés par l’intellectuel camerounais Achille Mbembé. Arthur Banga a déclaré « le moment est arrivé du discours d’égal à égal grâce à la mobilisation des sociétés civiles et des jeunes ». Il a
C’est Arthur Banga, un Ivoirien, qui a fait le discours d’ouverture du débat entre le Président Macron et un panel de jeunes identifiés par l’intellectuel camerounais Achille Mbembé. Arthur Banga a déclaré « le moment est arrivé du discours d’égal à égal grâce à la mobilisation des sociétés civiles et des jeunes ».
Il a rêvé d’une Afrique 2030 avec une monnaie africaine, sans bases militaires françaises, une Afrique réconciliée avec la France, une Afrique démocratique et prospère. Au-delà des critiques (fondées) sur la légitimité de ce sommet, sur son organisation, sur son impact dans les opinions publiques, sur la réalité des rapports de force géostratégiques et économiques, sur le choix des 11 jeunes qui ont interpellé le président Macron, sur le contexte d’une guerre au Sahel qui se chronicise et dont les buts et les moyens sont remis en cause, au-delà de toutes ces réalités nul ne peut nier que ce débat contribuera à éclairer dans l’espace public franco-africain les vrais sujets qui fâchent dans nos relations entre le peuple français et les peuples des pays africains. Les Franco-ivoiriens sont en première ligne et doublement concernés. (voir ci-dessous le replay du débat)
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