L’amicale des Alsaciens de Côte d’ivoire a organisé sa soirée choucroute le 28 mai. On a pourtant vu des Bretons et des Bretonnes, des Flamands et des Flamandes, des Antillais et des Antillaises, des Libanaises et des Libanais, même des Ivoiriens et des Ivoiriennes…C’est dire que les identités n’étaient pas meurtrières ce soir-là. Au contraire
L’amicale des Alsaciens de Côte d’ivoire a organisé sa soirée choucroute le 28 mai. On a pourtant vu des Bretons et des Bretonnes, des Flamands et des Flamandes, des Antillais et des Antillaises, des Libanaises et des Libanais, même des Ivoiriens et des Ivoiriennes…C’est dire que les identités n’étaient pas meurtrières ce soir-là. Au contraire entre le bruit de la mastication des saucisses de Morteau, le bruit doux de la pluie et les conversations diverses des voisins de table, malgré une sono défaillante, les oreilles des convives ont pu entendre du bel canto italien, de la chanson française vintage années 70, de l’afrobeat et un crooner façon Alsacien reprendre du Sinatra. L’auteur de ces quelques lignes n’a toujours pas percé le mystère des coiffures alsaciennes.
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