Il y a cinq ans, le dimanche 13 mars 2016, comme à Sousse en Tunisie en juin de l’année précédente, Al Qaïda au Maghreb Islamique frappait la plage de Grand Bassam. Deux jeunes Ivoiriennes, cinq jeunes Ivoiriens, trois militaires des forces spéciales ivoiriennes, quatre Français âgés de 53 à 78 ans, deux libanais, la directrice
Il y a cinq ans, le dimanche 13 mars 2016, comme à Sousse en Tunisie en juin de l’année précédente, Al Qaïda au Maghreb Islamique frappait la plage de Grand Bassam. Deux jeunes Ivoiriennes, cinq jeunes Ivoiriens, trois militaires des forces spéciales ivoiriennes, quatre Français âgés de 53 à 78 ans, deux libanais, la directrice de l’Institut Goethe à Abidjan, un Nigérian et un Macédonien ont été tués. 19 personnes sont mortes parce que trois individus avaient décidé de semer la terreur ce jour-là sur ce lieu de détente dominicale des habitants d’Abidjan. Une délégation de notre association s’est rendue sur place le 13 mars dernier pour participer aux cérémonies du souvenir. N’oublions pas les victimes. N’oublions pas moins que Mimi Ould Baba, l’un des organisateurs de l’attentat a été libéré en octobre dernier au Mali avec 200 autres terroristes en échange de quatre otages dont une Française, deux Italiens et un Malien.
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