Des gens arrivent, des gens partent, c’est la loi de toute vie associative. Mais pour les associations des Français qui vivent à l’étranger, ce flux a une spécificité : les départs le sont souvent pour une longue durée, voire définitifs, alors entre juin et septembre se succèdent pots de départs et pots d’arrivée. L’année associative
Des gens arrivent, des gens partent, c’est la loi de toute vie associative. Mais pour les associations des Français qui vivent à l’étranger, ce flux a une spécificité : les départs le sont souvent pour une longue durée, voire définitifs, alors entre juin et septembre se succèdent pots de départs et pots d’arrivée. L’année associative n’est pas l’année civile, mais bien l’année scolaire, les vacances d’été de la métropole structurent encore notre vie sociale et professionnelle. On peut prendre cette situation de manière nostalgique en se disant que le partant (ou la partante, bien sûr) est irremplaçable, mais on peut aussi se dire que ce renouvellement, ces nouvelles têtes qui arrivent, sont le gage d’un enrichissement incessant, d’une aération continue de notre terreau associatif, pour prendre une métaphore horticole. Une certification bio de notre vie associative, en quelque sorte. Parce que les défis associatifs, eux sont permanents, que ce soit au niveau parisien de notre association avec les dossiers que le nouveau bureau devra gérer ou à notre niveau dans notre pays d’accueil avec les questions scolaires, le contexte sécuritaire ou encore la précarité de beaucoup de nos concitoyens. La nature des questions à traiter n’évolue pas, elle est permanente, mais les difficultés à les résoudre, elles, se renouvellent et semblent chaque année plus âpres. Le nouveau CA de notre association en Côte d’Ivoire est là pour les traiter avec vous. On est ensemble !
Dominique Louisor-Tako, présidente de la section Côte d’Ivoire de Français du monde-adfe
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