Café du monde du 14 mai : « L’aide au développement est en crise, et si c’était une bonne nouvelle ? » – LFCI N°51 – juin 2025

Café du monde du 14 mai : « L’aide au développement est en crise, et si c’était une bonne nouvelle ? »  – LFCI N°51 – juin 2025

Retour sur le Café du Monde du 14 mai à la Fabrique culturelle. Près de 120 participants ont assisté mercredi 14 mai au désormais « très couru » Café du Monde de l’Association Français du Monde. La Fabrique Culturelle était à l’étroit pour accueillir des chercheurs, des étudiants, des enseignants, des cadres du secteur privé,

Retour sur le Café du Monde du 14 mai à la Fabrique culturelle.

Près de 120 participants ont assisté mercredi 14 mai au désormais « très couru » Café du Monde de l’Association Français du Monde. La Fabrique Culturelle était à l’étroit pour accueillir des chercheurs, des étudiants, des enseignants, des cadres du secteur privé, des représentants d’ONG ou d’institutions internationales, des personnalités politiques…tous venus échanger avec des intervenants de qualité tels Madame Francesca DI MAURO, Ambassadrice de l’Union Européenne, Monsieur Bertrand ASSAMOI Directeur Pays l’Institut Tony Blair et Monsieur Gilles Martin, Consultant sur l’aide au développement, sous la tempérance de Daouda OUEDRAOGO.

« L’aide internationale est en crise : et si c’était une bonne nouvelle ? ».

Ce sujet très actuel soulève plusieurs questions et inquiétudes auprès de tous les acteurs. Coupes budgétaires, recentrage sécuritaire, remise en cause du paradigme classique, le modèle de l’aide internationale vacille.
Après des décennies d’assistance, cette crise n’est-elle pas une opportunité de repenser la coopération internationale sur des bases plus équilibrées et émancipatrices ?
En attendant, les coupes budgétaires drastiques ont des conséquences douloureuses pour les millions de personnes qui en dépendent. Pour autant, des voies dissonantes clament que cette aide étrangère produit surtout des effets inverses pour les pays en développement…

Voir les articles du quotidien Le Jour ci-dessous.

Eclador Nana

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